« Les résolutions sont
comme les anguilles ;
on les prend aisément.
Le diable est de les tenir ! »
Alexandre DUMAS
Le jour où j’ai décidé de ne plus prendre de bonnes résolutions en janvier….
🙅♀️ Cela fait déjà plusieurs années, je dirais plus précisément autour de mon passage de la quarantaine, que j’ai décidé d’arrêter de prendre de bonnes résolutions.
Que dis-je ? Que j’ai décidé d’arrêter de m’infliger cette routine annuelle qui ne produisait nul autre effet, à terme, que du découragement et de la culpabilité…
3 bonnes raisons pour ne plus prendre de bonnes résolutions !
La faisabilité :
Allez soyons honnêtes, après les fêtes de fin d’année, le renouveau qu’augure le 1er janvier encourage à placer la barre haute ! Cette nouvelle page qui s’ouvre est très souvent propice à un regain de motivation pour se fixer des challenges 🎯
🕰️ »Je finirai plus tôt le soir🏋️ »Je me remets au sport »,
🍪 »j’arrête de grignoter »,
🧘🏼♀️ »je vais me mettre à la méditation »,
🚬 »j’arrête de fumer »,
🚰 »je ne bois plus d’alcool », etc…
Vous vous reconnaissez ? Comme la grande majorité de nos concitoyens, le début d’année est l’occasion de dresser un bilan et de se fixer tout un tas d’objectifs.
En soi, l’idée est géniale… Oui mais, si l’on se fixe trop d’objectifs à la fois, l’énergie que cela demandera sera trop importante et créera l’inverse du bénéfice attendu.
Donc, si l’on veut vraiment s’engager sur le chemin des bonnes résolutions, mieux vaut en limiter le nombre, à savoir 1 ou 2 maximum !
Le stress :
Conséquence évidente d’une ambition trop élevée, le fameux stress 😨 Petit rappel pour les nouveaux par ici, le stress est un mécanisme physiologique absolument génial qui nous permet de nous adapter à une situation nouvelle, inattendue. En puisant dans nos ressources, notre cerveau et notre corps vont trouver la solution la plus ajustée. donc jusqu’ici tout va bien.
Sauf que… Lorsqu’on a été très (trop ?) ambitieux sur les objectifs (alias nos bonnes résolutions) fixés en début d’année, l’épuisement nous guette très vite.
Donc là encore, au risque de me répéter, aucun souci si l’on reste raisonnable sur nos ambitions.
La culpabilité :
Et devinez qui débarque sur son cheval blanc dès que l’on ne tient pas son engagement ? Et oui, Madame Culpabilité (bon ok c’est plutôt le prince sur le cheval blanc alors disons sur sa licorne 🦄) adore pointer le bout de son nez dès que l’on n’arrive pas à atteindre les objectifs que l’on s’était fixé…
« Tu es vraiment nul.le »
« On ne peut jamais compter sur toi »
« Comme d’habitude, tu n’y arrives pas »
« Mais comment se fait-il que tu n’y arrives pas alors que les autres, eux (cf. les supers héros sur les réseaux sociaux qui réussissent tout dans leur vie virtuelle) oui ! »
La coupe est pleine, je m’arrête ici, je pense que vous aurez compris l’idée…
Il est fort dommage de générer pour soi-même cette culpabilité alors même que l’idée première était de générer de la motivation. Heureusement, après tant d’années à décrypter mes émotions, j’ai mis le doigt sur diverses techniques pour ne plus les subir et au contraire les transformer en carburant utile pour mes projets !
Par quoi remplacer les bonnes résolutions !
✍️ Une intention ou un mot pour son année.
Clotilde DUSOULIER, créatrice du podcast Change Ma Vie, avec qui j’ai collaboré au sein de son programme de coaching 🤩, nous propose chaque année non seulement de déterminer un mot guide pour notre année mais également, de se proposer de le graver sur un objet, un bracelet par exemple, qui nous permettra de le garder à l’esprit tout au long de nos journées.
🧏♀️ Et vous, quel mot / ou quelle intention avez-vous envie de poser sur 2022 ?
Si vous souhaitez y voir plus clair, remettre un peu d’ordre et d’équilibre entre vos vies privée et professionnelle, j’ai conçu 3 programmes qui vont vous plaire !
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👣 Et n’oubliez pas que je vous offre notre premier rdv afin de mieux se connaître et cibler précisément vos besoins, bref pour faire les premiers pas vers une vie plus harmonieuse !
A tout de suite !
